Mot-clef : Sergei Babayan

Rachmaninov à deux pianos avec Daniil Trifonov et Sergeï Babayan : séduction et interrogations

Deux maîtres du claviers, Daniil Trifonov et Sergei Babayan - le premier étant le disciple du second - jouent régulièrement ce programme en récital. Si les deux Suites et Danses ...

À Verbier, le maître Babayan et l’élève Trifonov

Il y a foule au Verbier Festival pour la rencontre de Daniil Trifonov, l’élève au faîte de son art, et de Sergei Babayan, son heureux maître. Comme souvent un événement ...

À Tannay, le jeu de Sergei Babayan beau à pleurer

Plus tôt dans la semaine, nous faisions état des impressions que certains concerts peuvent laisser sur un public. De l’enchantement à la colère, de l’émotion à l’indifférence, toutes les perceptions ...

Le Chopin splendidement sophistiqué de Trifonov et Pletnev

Dans un album au programme et à la réalisation extrêmement soignés, Daniil Trifonov livre un jeu de miroirs très subtil autour de Frédéric Chopin et de ses deux concertos pour ...

À Verbier, splendide Mozart, en attendant Mahler

On attendait Mahler. On a eu Mozart. On attendait Daniil Trifonov. On a eu Sergei Babayan. On attendait Gianandrea Noseda. On a eu Joshua Weilerstein et Daniel Harding. Deux pour ...

Daniil Trifonov, jeune pianiste sensible

À 22 ans, Daniil Trifonov crée beaucoup d’intérêt sur son nom pour la maturité et la fraîcheur de son style. ResMusica a suivi sa carrière depuis le concours Chopin en ...

Daniil Trifonov, pianist

"The sculptures of Rodin made one of the strongest impressions on me" ResMusica: At only 22, you are celebrated by musical critics and influent artists such as Martha Argerich, recorded with ...

Le piano russe dans tous ses éclats

La deuxième soirée du Festival de Radio France et Montpellier Languedoc-Roussillon s'inscrivait plus directement dans la thématique « Musique et Pouvoir » choisie par Jean-Pierre Le Pavec comme ligne de force de ...

Gergiev en plein Stravinsky

On le savait par le disque : Noces de Stravinsky par Gergiev, ça déménage ! Le concert le confirme : tempos délirants, lecture acérée, rythmes mis à nus, c’est parti pour vingt minutes ...