Mot-clef : Antonino Fogliani

À Genève, un Nabucco fourre-tout

Chaleureux accueil du public pour cette première de Nabucco de Giuseppe Verdi dont l’intrigue disparaît derrière une mise en scène obscurantiste plus soucieuse de l’effet visuel que de la narration. Lorsqu’en ...

À Genève, une Cenerentola de rêve

« E sogno o realta ! » se demande Mr. Ford dans sa scène de la jalousie du Falstaff de Verdi. C’est la question qu’on peut aussi se poser à ...

À Genève, une Aïda à la sauce anglaise

Tiède réception du public à l’issue de cette Aïda de Giuseppe Verdi que la mise en scène de Phelim McDermott revisite dans un décor et des costumes hasardeux à mille ...

Délirante italienne de Laura Scozzi au Capitole de Toulouse

De son passé de chorégraphe, Laura Scozzi a gardé le désir de mettre en scène les corps, avec cette dose d'humour et d'énergie qui signe chacune de ses mises en ...

A Dijon, Un Barbiere di qualità !

« Comme une explosion, comme un coup de canon, comme un tumulte général » : c’est le texte même de l’air de la calomnie qui illustre le mieux le tempo ...

Un rôle-titre éblouissant pour Rigoletto!

Rien de nouveau quant à la mise en espace signée déjà par le même tandem en décembre 2006 à Marseille : Arnaud Bernard pour la mise en scène et Patrick Meeüs ...

Une Lucia de plus

Que Bergame célèbre Donizetti, l’enfant du pays, rien de plus normal, c’est même souhaitable. Que la représentation soit immortalisée par un DVD, c’est une autre histoire. La production de Francesco Esposito ...

Acide sans extasy

On était tout heureux de découvrir un nouvel opéra de Domenico Cimarosa, tant la musique du Napolitain pétille d’esprit, de joie, d’invention mélodique. Hélas ! hélas ! on déchante vite. Déjà, la technique ...

Rossini et Meyerbeer, Première mondiale au « bel canto opera festival »

Bad-Wildbad est une ville de cure perdue au fond de la Forêt Noire. Ne cherchez pas son nom dans le Guide Vert Michelin ! Aucun monument remarquable à visiter, aucun site ...

Un vaudeville alla Rossini …

C’est toujours un plaisir sans mélange que de retrouver l’écrin de la Salle Favart, de plus pour un petit bijou comme Le Comte Ory, du grand Rossini, si rarement donné, ...