Le personnel de la Gaité Lyrique solidaire de sa direction et des 400 jeunes malgré les risques
Le 10 décembre 2024, le Collectif des Jeunes du Parc de Belleville avait lancé l’occupation de la Gaîté Lyrique en y abritant 200 jeunes. Le chiffre a cru de manière constante au fil des 52 jours, 250 jeunes mi-décembre, 300 la première quinzaine de janvier, et désormais 400 selon le décompte des équipes de la Gaité Lyrique, qui sont réunies dans la structure « La Fabrique de l’époque ».
Dans un communiqué publié le 30 janvier, celles-ci s’alarment de la situation sanitaire de ces jeunes « non reconnu·es mineur·es », et d’une situation qui reste totalement bloquée, sans perspective d’hébergement ni d’évacuation en plein hiver. Elles s’affirment solidaires de la direction comme des 400 jeunes, malgré le fait que « les tensions et les risques ne cessent de croître », que certains médias les présentent à tort comme prises « en otage » par leur direction, et qu' »une vague de messages haineux et d’intimidation » se lève, aussi bien contre les équipes que contre les jeunes sans-abris.
Le chômage partiel a désormais été mis en place. La Ville de Paris n’ayant pas affirmé son soutien à la direction dans cette crise humanitaire qui ressemble de plus en plus à un bras de fer, c’est la pérennité du projet de La Fabrique de l’époque qui est désormais en jeu.
La Gaîté Lyrique est la dixième occupation d’un lieu public de la Ville de Paris, et ce, en un an et demi, selon le communiqué. (JCLT)
France terre d asile(que l on ne peut pas accuser de soutenir la droite…) a bien mis en évidence que ces illégaux étaient largement majeurs ….le débat est clos . Si les employés de ce théâtre soutiennent a fond,fermeture, licenciement sans indemnité pour fautes lourdes …ils ne doivent pas oublier qu ils ne vivent que de subventions publiques…c est a dire vos impôts…mes impôts….a l état d assumer ses contradictions…