Après les théâtres, comme l’Odéon à Paris et le TAP à Poitiers, c’est au tour de certains opéras d’être occupés par des collectifs pour demander la réouverture des lieux culturels et attirer l’attention sur la situation précaire de certains artistes. Après l’Opéra de Lyon, l’Opéra de Bordeaux est à son tour occupé par une trentaine de personnes : intermittents, artistes, ou représentants de la CGT, dont les revendications vont au delà de la gestion des lieux culturels par temps de pandémie. Le retrait de la réforme de l’assurance-chômage est un des principaux motifs de la mobilisation. (NF)
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