Le Brussels Philharmonic a frappé un grand coup en annonçant, en partenariat, avec Samsung, le géant coréen des technologies, la fin de l'utilisation des partitions en papier.
En effet, les musiciens et le chef vont lire leurs partitions sur des écrans de tablettes tactiles. Les arguments pratique et écologique sont avancés : l'orchestre belge espère ainsi économiser 25.000 euros en coûts de stockage et de papier. Sans oublier, les gains de poids lors des déplacements et des tournées.
Après avoir été le premier orchestre au monde à proposer ses enregistrements comme sonnerie de téléphone portable, l'orchestre continue d'innover et il s'affirme comme une référence technologique.
(Visited 43 times, 1 visits today)
Mots-clefs de cet article
1 commentaire sur “Le Brussels Philharmonic et les tablettes”