Plus de détails
L’amour de moy, Chansons et improvisations de la Renaissance : Pierre de la Rue (vers 1450 – 1518) : Autant en emporte le vent ; Pourquoi non. Loyset Compère (vers 1445 – 1518) : Mais que che fut secrètement ; Le renvoy. Bosfrin ( ? – ?) : Et trop penser. Antoine Busnoys (vers 1430 – 1492) : Joye me fuit ; Mon mignault musequin. Matthaeus Pipelare (vers 1450 – vers 1515) : Fors seulement Pipelare. Josquin des Prés (vers 1440 – 1521) : Plaine de dueil. Heyne ( ? – ?) : Ce n’est pas jeu. Anonyme, (manuscrit de Bayeux) : L’amour de moy si est enclose ; Puisque Robin j’ay à nom ; Vecy le mai ; Quant je voy renouveler ; On doit bien aymer l’oyselet ; Helas Olivier Vasselin ; Dieu la gard la bergerotte ; Amy je prends congé de vous et un Kyrie improvisé à partir de cet air. Anonymes : Entre Peronne et Saint Quentin ; Je ne pourroye plus celer ; Mon mignault musequin. Obsidienne. Direction : Emmanuel Bonnardot ; 1 CD. DDD. Calliope CAL 9408. Code barre : 7 94881 89742 1 Enregistré en l’Eglise de Charchilla (Jura) en juin 2008. Notice en français et anglais. Textes : en ancien français. Durée : 65’21’’
CalliopeVoici un disque qui se propose de vous faire découvrir un répertoire et des techniques d'improvisation médiévale en vous touchant au cœur, par l'infinie simplicité d'airs que les siècles n'ont pas totalement effacés de la mémoire collective.
S'accompagnant d'instruments dont les noms sont porteurs de magie pour les non initiés (chalemie, cistre, rebec, tympanon…) et d'une réelle beauté évocatrice de nos racines collectives, voici donc plus exactement des pièces polyphoniques de De la Rue, Bosfrin, Josquin des Prés ou des pièces anonymes issues du Manuscrit de Bayeux dont les titres, renvoient à une poésie courtoise extrêmement ciselée et annonciatrice des poètes de la Renaissance Française. S'appuyant sur les recherches de Jean-Yves Haymoz sur le contrepoint improvisé et le chant sur le livre, l'ensemble Obsidienne nous offre ici à entendre des mélodies dont la simplicité s'enrichit d'un contrepoint inventif et charmeur, tissant des liens dont la complexité met en valeur le raffinement des textes, nous permettant ainsi d'en goûter toutes les saveurs.
L'ensemble Obsidienne par ses belles couleurs vocales, un phrasé dont la maîtrise rend accessibles ses mots d'amour tendre et doux d'une langue ancienne, et ses métaphores courtoises et sensuelles, fait de ce programme, une initiation à la beauté d'un monde où tout n'était qu'équilibre subtil, harmonie joyeuse et séduction. Autant en emporte le Vent…pour l'Amour de moy est si enclose, Vecy le mai…dans ses jardins à la symbolique amoureuse aux senteurs de rose…le chant est un parfum et la musique fluide, légère et élégante vous guide doucement vers l'extase.
Plus de détails
L’amour de moy, Chansons et improvisations de la Renaissance : Pierre de la Rue (vers 1450 – 1518) : Autant en emporte le vent ; Pourquoi non. Loyset Compère (vers 1445 – 1518) : Mais que che fut secrètement ; Le renvoy. Bosfrin ( ? – ?) : Et trop penser. Antoine Busnoys (vers 1430 – 1492) : Joye me fuit ; Mon mignault musequin. Matthaeus Pipelare (vers 1450 – vers 1515) : Fors seulement Pipelare. Josquin des Prés (vers 1440 – 1521) : Plaine de dueil. Heyne ( ? – ?) : Ce n’est pas jeu. Anonyme, (manuscrit de Bayeux) : L’amour de moy si est enclose ; Puisque Robin j’ay à nom ; Vecy le mai ; Quant je voy renouveler ; On doit bien aymer l’oyselet ; Helas Olivier Vasselin ; Dieu la gard la bergerotte ; Amy je prends congé de vous et un Kyrie improvisé à partir de cet air. Anonymes : Entre Peronne et Saint Quentin ; Je ne pourroye plus celer ; Mon mignault musequin. Obsidienne. Direction : Emmanuel Bonnardot ; 1 CD. DDD. Calliope CAL 9408. Code barre : 7 94881 89742 1 Enregistré en l’Eglise de Charchilla (Jura) en juin 2008. Notice en français et anglais. Textes : en ancien français. Durée : 65’21’’
Calliope